CORRECT LYRICS

Lyrics : Booska’Peinture

Oh my god, Twinsmatic
J'en ai vu de toutes les couleurs

J'en ai vu de toutes les couleurs avant d'passer sur Colors mais ça, très peu le savent
Pas peur de la douleur, dehors, j'ai vu s'briser des colonnes mais ça aussi très peu le savent
Mode furtif rechargé, sur moi, plus que quatre g', j'suis à l'étranger, bébé, j'ai plus d'4G
Rappelle plus tard, une fois qu'j'ai touché l'cachet, j'reviens pour trancher donc dis-leur de s'cacher
Beaucoup de haine car quand tout est radieux, les cœurs se remplissent de paroles diffamatrices
Toujours le même, vaillant comme G.O et Ra2 et ça, d'puis bien avant la matrice
Beaucoup de peine, tout va mal même quand tout va mieux, la vie est déstructice et la mort est formatrice
Elengi Ya Trafic, Jeunes Boss aka, la vague est formatrice
Déjà prêt pour la guerre, donc soldat du 1140 a préparé la phalange
Dès qu'la misère appelle, la noche, on sort faire couler l'sang entre nos phalanges
Les loups vendent la neige, le regard froid, le trafic s'étend comme une avalanche
Ganja (ganja), j'ai pesé l'pour et l'contre et j'ai démasqué toutes ces balances
Par le silence, j'réponds aux imbéciles, par l'insolence, j'réponds aux indécis
À chaque couplet, ma rancœur se dessine donc souvent, j'ai volé parce qu'on n'm'a pas fait signe (shu)
J'ai tout donné à des coupables et j'ai tout pris à des innocents
Ils peuvent fermer les yeux et faire genre qu'ils n'écoutent pas mais au fond, je sais qu'ils le sentent
nous fait réagir à chaud donc les embrouilles dans nos rues laissent des cocards
Bruxelles Nord, tu connais la zone, plus l'temps d'calculer tous ces tocards
Ils font pitié, on fait du seille-o, le cœur est cellophané donc c'est trop tard
Et que Dieu soit loué car le business nous a rendus beau gars
Embrouilles, bécane, rancœur, brolique, gamos, moteur hydraulique
Booska Peinture comme brolique, les opposés s'attirent car l'inverse est ironique
Coincé au quartier, ça fait plus d'une heure, on les prend par surprise comme une tumeur
Au fond, je sais qu'ils ont eu peur ; j'ai pris mon pied, ensuite, j'ai pris un Uber