CORRECT LYRICS

Lyrics : Prolifère / vendredi 13

Prolifère

C’qui sort du 9, c’est pas du NERF, c’est pas des billes (pow pow pow pow)
Tes rappeurs n’ont pas de talent, mais sucent très bien des bites
C’qui sort d’sa bouche, c’est son sang, c’est pas sa bile, nan
Les nerfs à vifs, quand j’ride avec l’équipe
Le sale c’est comme la peste, ça prolifère
Pour la paix, j’crois qu’au brolique frère
9 millimètres bullet deep, pour le fer
J’suis pas ici pour le dire, mais, pour le faire (non)
J’suis pas ici pour te plaire, mais, pour t’faire tairе (péta**e)

Spread it like a disеase, it’s less easy than it seems
Spread it like a dirty devil, corrupting the seas
You see that sneaky? Huh?
You see that sneaky lamb I gotta silence? Huh?

Balade ba***e, j’suis le fa***, sur le ca***
Affables, les fans sont prêts, pour une dernière rafale, fatale, foncedale, à table ! (Ouh!)
J’boufferais bien mes congénères
Je connais comme ça dégénère
J’suis détruit mais je régénère
Le sale c’est comme la gale, ça prolifère
Ouais ça prolifère
Faire l’amour, c’est faire la guerre
Faire du sale, c’est faire le fier
Faire le mort, c’est déjà faire une tournée en enfer, frérot
Toutes ces goules j’en fais mon affaire, Fait haut (Skrrt)
Vendredi 13

(Oh merde attend... Allô?)
Tes copines m’ont vu avec elle
Non bébé steuplait, fais pas la folle
J’lui ai demandé si elle venait du ciel
Car son flow était éclaté au sol
Eh chérie, faut qu’j’te raconte une histoire
Ça s’est pa**é hier, yeah, vendredi soir (OK)
Tout Y40i voulait que je pa**e les voir
Ouais j’sais miss mais, ca***ise toi
J’étais posé avec les gars, dans la chambre 209 (eh...)
J’t’ai déjà dis ma pensée, j’avoue c’est vrai y’avait des meufs (eh...)
Mais j’ai pas fait le crevar, j’les ai laissé pour tous mes reufs
Tu me connais, bouteille de jack, et j’me suis contenté de faire la teuf (eh...)
Sauf une fois, un moment, une meuf a voulu me pomper
Oh quoi ?
Bébé b*t*h, t’inquiète c’est rien, vas-y laisse tomber, j’continue mon histoire
Armée jusqu’aux dents, elle avait la bouche sur mon canon
J’ai su que c’était l’heure, car j’ai vu les cuisses de ses talons
J’me demandais si c’était vrai, ou bien même si c’était canon