CORRECT LYRICS

Lyrics : Le bif, la prison ou la mort

Absent sont les regrets mon frère, mais dans nos rues on aura tout vu
La même histoire chez-moi, chez-toi, en bas des tours inconnus
Absent sont les regrets mon frère, mais dans nos rues on aura tout vu
La même histoire chez-moi, chez-toi, en bas des tours inconnus, urbaine est la violence
Et puisqu'elle nous rapporte, p'tit frère au nom du kiff, au bout c'est le bif, la prison ou la mort
Et puisqu'elle nous rapporte, p'tit frère au nom du kiff, au bout c'est le bif, la prison ou la mort

Hey ouais c'est violеnt comme être alcoolisé au volant
C'est violеnt comme être alcoolisé au volant
C'est violent, hey ouais c'est violent
Hey ouais c'est violent, hey ouais c'est violent
Hey ouais c'est violent comme être alcoolisé au volant, affolant comme devoir manger au volant
Depuis le temps les générations passent, les histoires se répètent, les mêmes qui se la pète
Les mêmes qu'on pète cheurs-arra en compet
[x] mec y a rien à regretter, surtout pas les habétes le jour où tu te fera péter
Surtout pas les habétes le jour où tu te fera péter
Surtout pas les habétes le jour où tu te fera péter
La loyauté se fait rare, rare comme un innocent à la barre, et a la barre souvent c'est tragique, les peines pleuvent c'est le cauchemar, ce bâtard de juge j'en suis allergique
La street c'est magique comme David Copperfield, elle est loin l'époque de la savonnette, d'la Chesterfield
Corrompu comme the shield, f**k Vic Mackey
Toujours speed tic-tac toujours au taquet
Charge les paquets sur l'autoroute de la drogue à toute patate
Au bout c'est le bif, la prison ou la mort
Au bout c'est le bif, la prison ou la mort
Au bout c'est le bif, la prison ou la mort
Absent sont les regrets mon frère, mais dans nos rues on aura tout vu
La même histoire chez-moi, chez-toi, en bas des tours inconnus, urbaine est la violence
Et puisqu'elle nous rapporte, p'tit frère au nom du kiff, au bout c'est le bif, la prison ou la mort
Et puisqu'elle nous rapporte, p'tit frère au nom du kiff, au bout c'est le bif, la prison ou la mort

Les saisons changent mais les temps sont tendus, balle perdu, petit frère en cellule à fini pendu
En primaire sous la pendule les mains dans le sac du prof, vol à coopérative, rêve de kalachnikov
Fume des c*cktail molotov posé dans le cartel, la rue c'est mortel
Ma vie un sacré bordel
Découpe des lamelles sur des plaques de cent, et si tu double et qu'tu paye pas c'est la flaque de sang
(c'est la flaque de sang, c'est la flaque de sang)
Un pack, un banc, un parc, rien que ça tise
Y a la bac fout le camp avant qu'ils t'embarque, te méprise
Notre hantise c'est la perquisition, amateur de salon de massage avec finition
T'es en permission et décide de rentrer, mais dans le biz y a trop de pressions, trop finissent éventrer
Très très très vite, tout ce passe très vite
Tous illicites, nos cités sont maudites
Je médite comme le dalaï-lama
Quand j'suis die ima moi j'suis q'une caille' ouais plus [lin-ma ?]
Je médite comme le dalaï-lama
Quand je j'uis die ima moi j'suis q'une caille' ouais plus [lin-ma ?]

Absent sont les regrets mon frère, mais dans nos rues on aura tout vu
La même histoire chez-moi, chez-toi, en bas des tours inconnus, urbaine est la violence
Et puisqu'elle nous rapporte, p'tit frère au nom du kiff, au bout c'est le bif, la prison ou la mort
Et puisqu'elle nous rapporte, p'tit frère au nom du kiff, au bout c'est le bif, la prison ou la mort